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Inter­view Alban

Alban sur le triathlon de Deauville

Peux-tu te pré­sen­ter pour ceux qui né te connaissent pas
Alban, alias Ban­ban, la qua­ran­taine cette année (bam dans ta g*****), pac­sé à Mary­lene et papa de deux enfants (11 et 8 ans). Je suis concep­teur BE_méthode en embal­lages tech­nique (bois, car­ton, mousse, résine.…..) prin­ci­pa­le­ment dans le domaine aéro­nau­tique, luxe et œuvres d’art .

Depuis com­bien de temps pra­tiques-tu le tri­ath­lon et depuis com­bien de temps es-tu licen­cié au club ? 
Apres avoir pra­ti­qué le tir à la cara­bine 10m en com­pet, le ten­nis de table et la course à pieds, je suis arri­vé au club en Sep­tembre 2006, à l’é­poque Thier­ry Calais était pré­sident. Je me vois encore ren­trer dans l’an­cienne pis­cine de Creil pour faire connais­sance des membres de l’é­poque.

Qu’est-ce qui a chan­gé au club depuis toutes ces années ?
Le nombre d’adhérent : une tren­taine à mon ins­crip­tion. La folie des sor­ties du Dimanche. Aujourd’­hui c’est sou­vent le same­di et c’est plus “calme”, ça per­met à tout les niveaux de venir. Lors de mes pre­mières sor­ties vélo avec le club, on se don­nait RDV à Bur­ton Nogent sur Oise. Je pre­nais déjà 200 m qu’on était pas encore au rond point des Rochers LOL. Faut dire que je par­tais de très bas. Nico­las Radde (autre pré­sident) fai­sait l’élastique pour me rame­ner dans le groupe. 

Après tous ces halfs, tu as déci­dé de te lan­cer dans l’a­ven­ture Iron­man, pour­quoi ?
Parce qu’a­vant les enfants étaient plus petit, moins auto­nome que main­te­nant et Mary­lène avait des horaires de tra­vail trop com­pli­qué. J’a­vais faillit fran­chir le pas lors de l’émulation pour Embrun (13 par­ti­ci­pants et tous fini­shers). Aujourd’hui les enfants sont plus grands, Mary­lene a chan­gé de tra­vail avec des horaires plus confor­table pour la famille. Et puis une nou­velle ému­la­tion est “mal­heu­reu­se­ment” née suite au départ de Julian. Nous allons lui rendre un GRAND HOMMAGE spor­tif le jour de son anni­ver­saire. Lui et les copains/copines vont me pous­ser vers le fini­sh­line.

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Tu es tou­jours pré­sent sur les orga­ni­sa­tions, tou­jours prêt à filer un coup de main. C’est quoi ta vision du béné­vo­lat ?
C’est vrai que j’en ai pas lou­pé beau­coup et pour­tant le TVO (par exemple) tombe le jour de l’ anni­ver­saire de mon fils. Ça m’embêterai d’être dans mon cana­pé ou sur mon vélo et me dire que les copains sont peut être en train de tri­mer. On pas­sé une bonne jour­née ensemble et quel bon­heur quand les par­ti­ci­pants repartent avec le sou­rire et vous disent “c’était top, à l’an­née pro­chaine !”.

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